Solidays 2016 – Jour 3 : Cypress Hill, Louise Attaque, Jain…

Avec 202 000 festivaliers, l’édition 2016 s’est refermée sur un record, beaucoup d’argent pour une belle cause, et un superbe feu d’artifice d’artistes talentueux.

 

 

Lorsqu’il a fallu choisir entre le match de l’Equipe de France et le concert Louane au beau milieu de l’après-midi, l’obligation professionnelle a repris le dessus, et nous voilà sous le Dôme avec celle que l’on surnomme « la petite chérie des Français » en guise d’apéro à une journée qui s’annonce riche. Alors, ne versons pas dans la hate gratuite, qu’on aime ou qu’on Emera pas (allez, c’est cadeau), mais la jeune femme de 19 ans a fait le job pour ses fans – pour beaucoup des enfants – reprenant à tue-tête Jour 1 ou Avenir. Avec toute l’innocence et le charme qu’on peut lui trouver.

 

 

Direction ensuite la scène Paris où Ibrahim Maalouf, dans un tout autre registre, trompette à la main – lorsqu’il ne trifouille pas son synthé – a fait chavirer les festivaliers dans son univers teinté de jazz, de rock et de funk.

 

 

C’est sous un soleil généreux que Jain a ensuite pris possession de la scène Bagatelle. Seule sur scène, entourée de cinq télévisions, la jeune chanteuse toulousaine a fait danser le public au rythme de son certifié disque d’or Zanaka et de titres tels que Come et Makeba.

 

 

Place ensuite aux papys du hip-hop, les Californiens de Cypress Hill. Du haut de leur demi-siècle (pour le toujours imposant Sen Dog notamment), les rappeurs ont encore envoyé du lourd à coup de spliff, d’un flow acéré sur un beat imité mais jamais égalé. On ne pouvait pas faire mieux.

 

 

Après le charmant intermède électro-chill Petit Biscuit, c’est au tour de Louise Attaque de refermer les portes de cette édition 2016. Et avec quel vista ! Des « chansons d’hier, d’aujourd’hui et d’avant-hier » comme il l’a si bien dit, des morceaux connus de tous (Ton Invitation, J’t’emmène au vent) et des nouveautés charmantes (Anomalie), et voilà que Solidays

 

 

Nos photos d’ambiance :

 

 

© Texte : Chris / Photos : Lise

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