ON Y ETAIT : L’énergie de Tom Odell fascine l’Elysée-Montmartre

Seulement sept mois après son passage à la Boule Noire, Tom Odell a visé bien plus grand pour la soirée du 30 novembre : L’Elysée – Montmartre. L’occasion pour moi de découvrir la superbe salle après sa rénovation. Le piano et les deux batteries trônent sur la scène, en attendant Tom Odell et toute sa troupe. Ils se pointent à l’heure, et ça commence fort avec Still getting used to Being on my own, morceau tiré de Wrong Crowd, son dernier album en date. Comme on pouvait s’y attendre, les performances vocales de Tom sont presque plus impressionnantes encore en live qu’en album (et pourtant…!).

Il nous propose des titres du premier et du second album, en alternant. Aucune fausse note pour lui comme pour ses musiciens, sans pour autant proposer un concert trop lisse. Le contact avec le public est d’ailleurs entretenu par un Tom plutôt bavard et amusant sans jamais en faire trop !

Tom Odell

Du côté du public, on voit bien que, que ça soit des chansons du premier ou du deuxième album, il aime ce qu’il entend ! Tom ponctue ses morceaux exécutés parfaitement avec ou sans piano avec quelques anecdotes sur  sa relation avec Paris, on sent qu’il est heureux d’être là ! L’esprit presque rock qu’on lui avait découvert plutôt sur Wrong Crowd est bien présent en live, et incorporé dans les anciennes chansons. On a du coup le droit à une version déchaînée de Can’t Pretend, ou encore de son fameux titre mélancolique Another Love.

On retrouve aussi et toujours le prodige du piano sur des titres plus doux comme Grow Old With Me ou Constellations. Du coup, en alternant les deux styles, on ne s’ennuie jamais et l’heure et demie de concert passe malheureusement bien trop vite…

Tom Odell

Du coup, avant même qu’on voit le temps passer, on en est déjà à Magnetised, single phare de Wrong Crowd, qui vient clore cette belle soirée. Tom et sa troupe, tout comme le public, donnent tout ce qu’ils ont pour finir ce concert en beauté ! Un dernier merci, le drapeau français sur le dos, et c’est déjà fini… A bientôt on l’espère !

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