16 Juin Bruce Dickinson à l’Olympia, un retour en force !
Le 26 mai dernier, Bruce Dickinson se produisait à l’Olympia pour promouvoir son dernier album solo, The Mandrake Project, malgré une grippe.
La soirée débute avec Black Smoke Trigger, tout droit venu de Nouvelle-Zélande, pour chauffer la salle. Et c’est réussi ! Le quatuor n’a qu’une courte demi-heure pour convaincre mais c’est efficace. La synergie du groupe est très bonne aussi bien entre eux qu’avec le public et leurs morceaux aux influences des plus grands du Hard Rock sont parfaitement exécutés !
Vient ensuite le tour de Bruce, que la salle attendait de pied ferme, tous (ou presque) vêtu de tee-shirt d’Iron Maiden. Mais avant de pouvoir entendre cette voix que l’on reconnait entre mille, il nous faut attendre la fin de l’introduction en deux parties (Invaders et Toltec 7 Arrival). Le groupe au complet arrive alors sur scène et entame le concert avec Accident of Birth.
Tout de suite on voit l’aisance qu’a Bruce pour déchainer les foules, mais c’est surtout la complicité avec les membres du groupe qui nous frappera. Ce premier concert à l’Olympia semble être une fête pour eux. La joie est communicative et le fait que Bruce s’adresse uniquement en français tout au long de la soirée renforce encore plus ce sentiment spécial qui nous emplit le temps de quelques heures. Les titres se suivent et c’est arrivé à la fin du 4ème morceau, Afterglow of Ragnarok, que la salle se lève pour une standing ovation comme il est rare d’en voir si tôt dans un set ! C’est dire la puissance scénique de l’homme !
En plus de tout ça, Bruce nous gâte en jouant des percussions sur Resurrection Men, Tears of the Dragon mais aussi du thérémine sur Frankenstein ! Qu’est-ce qu’il ne sait pas faire ?
Juste avant le rappel, Bruce prend le temps de remercier « mesdames, messieurs et les autres » , chouette attention ! Le groupe revient donc une dernière fois sur scène pour interpréter Navigate the Seas of the Sun, Book of Thel et The Tower. Seul bémol de la soirée, l’écran en fond diffusant des images et vidéos tel un PowerPoint pas très bien exécuté. Mais on retient surtout l’ambiance folle et l’énergie incroyable de Bruce jusqu’au dernier morceau !
Vous retrouverez Bruce Dickinson au Hellfest mais aussi au Graspop Metal Meeting.
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