28 Juin Nos lecteurs vous racontent… Depeche Mode à Lyon, Lille et Paris

Car c’est toujours vous qui en parlez le mieux.

Le public français a déjà pu assister à trois des quatre dates de Depeche Mode en France. Il ne reste que le Matmut Atlantique le 4 juillet. Nous vous demandions vos témoignages : les voici !

Vincent : C’est la deuxième fois que j’allais voir Depeche Mode en live… La première c’était en 2017. Celui – Ci était tout aussi expectionnel ! Les 2h15 sont passés très vite ! J’y suis allé avec mes parents et une amie, et on a tous adoré ! C’est mon père qui m’a fait découvrir DM, (Je suis devenu fan un peu plus tard,
en 2017…) Bref ! mes meilleurs moments pour moi ont été les chansons de Martin ! Car se sont des moments de lévitation… Superbe concert et merci de nous laisser donner notre ressenti ça fait chaud au cœur ! Merci a vous !

Pierre : Concert stade de France 24juin moi fan depuis 40ans et je les suit ce concert stade de France il son toujours au top des titres du nouveau album et les anciens il on mit le feu au stade de France et toujours aussi bon sur scène et on était en trans Exellent comme toujours et vivement qu’il revienne ! il manquait fletcher mais il a rendu hommage et bravo à dm pour cet hommage bravo dm et je resterai fidèle à leurs chanson et groupe

Sophie : Fan depuis mon adolescence, c’est-à-dire depuis plus de 30 ans, j’essaie toujours de les voir en concert lorsqu’ils sont en France. Cette fois-ci est encore plus spéciale car on ne savait pas s’ils allaient remonter sur scène après la mort de Fletch… Mais les initiales de Depeche Mode sont aussi celles de Dave & Martin, comme un signe… J’avoue ne pas trop aimer les concerts en stade mais on sait qu’on n’a plus le choix alors on fait avec… Celui de Lyon est un peu moins grand que le stade de France… Le jour J arrive, je viens de Montpellier avec mon mari et rejoins ma meilleure amie de Lyon avec qui j’ai fait quasiment tous les concerts de DM et d’autres aussi… L’accès au stade est plutôt bien organisé, l’ambiance est bon enfant, nous sommes en pelouse or, plutôt pas trop mal placés… Le public n’est plus tout jeune, comme le groupe, comme nous, et certains sont même venus avec leurs enfants… Une belle transmission… Quand nous arrivons, la 1è partie est déjà commencée alors qu’il n’est pas encore 20h, dommage… Je ne connaissais pas ce groupe, le son est un peu saturé mais c’est intéressant, malheureusement le chanteur tire un peu la gueule, et aucune communion se fait avec le public…dommage encore une fois…Puis vient le moment tant attendu…il fait encore jour mais nous sommes plongés dans l’ambiance électro dark avec Cosmos is Mine… D’abord Martin puis Dave… devant ce grand M pour Memento Mori. Le public commence à réagir avec Walking in my shoes et encore plus avec Everything Counts… La pluie s’en mêle, nous sommes bien arrosés, mais tant pis, le show et la musique nous réchauffent ! On voit bien que Dave n’a plus autant d’énergie qu’il y a quelques années, la voix est là bien sûr mais il danse un peu moins et il ne s’est même pas mis torse nu comme d’habitude lol… Les chansons sont plus courtes aussi ce qui n’est pas pour me déplaire car en conséquence il y en a plus ! Vient ensuite la partie solo de Martin avec la magique Question of Lust… Que de souvenirs de ses 1ers émois amoureux en l’entendant… Le set est un bon mélange des tubes attendus des fans et de chansons plus confidentielles mais toujours avec une mélancolie douce et grave à la fois…comme Stripped une de mes préférées… S’en suit un hommage vibrant  à Fletch sur World in My Eyes et un rappel en apothéose avec les standards Never Let me Down Again, Personal Jesus, Just Can’t get Enough précédé d’un duo envoûtant suspendu dans les airs pour Waiting for the Night… Comme d’habitude j’ai trouvé ça trop court, j’aurais aimé qu’ils chantent Question of Time et Behind the Wheel qui mettent toujours le feu en concert…mais bon le choix ne doit pas être facile pour eux tant il y a de tubes…Bref, je repars avec plein de belles émotions en moi et espère que ce ne sera pas le dernier…

Virginie : Moi et mon mari avons été au concert et aucun regret. Nous en avons pris pleins les yeux.  Magnifique. 

Alison : C’était la deuxième fois que je voyais Depeche Mode dans ce même stade (à Lille) mais cette fois en bas de tribune à quelques mètres seulement de la scène. Depeche Mode a le don de dévoiler un show grandiose mais sans artifice avec juste leur talent. Un concert à la hauteur de leur renommée mais à la fois si intimiste (même avec 25000 personnes !). Une jolie setlist avec une belle orchestration des nouveaux morceaux, des émotions en pagaille avec l’hommage à Andrew, chanter jusqu’au souffle coupé sur les tubes.. On aime admirer les fameuses chorégraphies de Dave, le look toujours classe du groupe, l’osmose sur scène mais aussi avec le public ! Une énergie débordante du début à la fin, un vrai moment de partage et ça fait du bien de se laisser vivre dans ce tourbillon pendant deux heures. Difficile de redescendre du nuage Depeche Mode après un tel moment. On en redemande déjà !

Vincent : Concert super avec une très belle ambiance, ils ont sorti les tubes au bon moment et c’était franchement cool. Jenny Beth à chier excusez les termes, ça en devenait même gênant notamment avec ses interactions avec le public. Carton plein pour Depeche Mode j’espère qu’ils reviendront prochainement à Paris.

Mathieu : J’étais au concert de DM à Lyon et au Stade de France. J’ai fait toutes les tournées depuis 1988. Je les aient vu une cinquantaine de fois donc j’ai moyen de comparer. Je peux vous dire que ces deux concerts sont les pires que j’ai fait. Le son était catastrophique, inaudible voir dangereux. Les basses étaient insupportable. Pour les deux concerts jetait en fosse or. La scène était minuscule par rapport à la taille du stade. Bref hyper déçu. 

Sabrina : j’ai fais Lille en gradin tt en haut face à la scène. Bien trop loin et trop sage pour moi ! Des la 1ere chanson de dm fini , jai quittée ma place et je suis allée en bas des escaliers et là j’ai pu crier chanter danser sans aucuns complexes ni réflections ! Un groupe en forme et très souriant ,1 plaisir pour les yeux et le cœur. Une scène pas transcendante d’effets ni de wahou mais un dave très class en super forme et un martin  beau comme un coeur souriant ++. La 1ere partie à était « jolie  » à voir …mais une souffrance pour les oreilles ! Le son était horrible ! Des basses bien trop fortes , j’ai à peine entendu la voix des 2 chanteuses qui pourtant avait l’air très bien. Et malheureusement en fosse or à Paris,  au 2eme rang c’était Pire !!!!! J’ai sorti des boules Keys , le son était vraiment insupportable. Dm à Paris en fosse or , un régale ! C’était top , une ambiance de folie , des fans heureux et un groupe au top , malgré les 6h d’attente sous des couvertures de survie pour se protéger des 30 degrés… puis de nouveau les 2h d’attente dans le stade… si il faut le refaire demain, je le re ferais . Je me suis endormie des paillettes pleins les yeux et le cœur rempli de bonheur.  

Christophe : Ça faisait longtemps que j attendais ce moment, moi le fan depuis 1985 et un shake the disease qui a changé ma vie musicale.Donc me voilà en pelouse or et hop première partie les basses raisonne trop dans mon corps, dommage car c est vraiment bien . Ensuite l attente et l explosion le son est vraiment bon et Dave et Martin semble heureux d être là. Après c est juste une communion entre le public et le groupe chacun répond à o autre ce qui donne beaucoup d improvisation de fin de chansons.Je les sens heureux et moi aussi. 2h15 plus tard whaou je viens de vivre un truc de fous que j oublierai jamais.Je suis pas sur d être revenu dans la vraie vie. En tout cas hier j avais 20 ans et dépêche mode aussi.

Ato : Martin gore est toujours très précis à la guitare et au chant. C est une très grande qualité et on ne peut pas être déçu avec Dave Gahan, la prestation duo est toujours énorme il y a du vécu,  de la qualité C était bon pour les cages à miel Le batteur est très bon, mais le clavier n est peut être pas au niveau d Andrew fletcher mais c était très bien. Depeche mode traverse le temps avec une musique intemporelle. La grande classe Merci messieurs ! Avec une scène centrale, il y aurait eu beaucoup plus de monde 

Sandrine : Premier partie jenny beth : saturation du son un calvaire sans nom… Et pourtant je pense que l’univers et la voix doivent être vraiment sympas… Depeche mode placement stade de France D7 . Beaucoup de fausses notes dans la voix de dave gahan… son approximatif en comparaison des éditions précédentes. La première partie avant le rappel très décevante: peu de jeux de lumières et visuel service minimum. Pas la niak, avancée de la scène qui va dans la fosse à peine utilisée. On sent la contrainte d’être présent, l’envie n’y est pas. Mal au cœur d’assister à cette contre performance en dessous des capacités habituelles. Mal au cœur de ce triste constat bien que fan du groupe. Horrible d’entendre les enregistrements qui tournent sur le net actuellement. Je m’interroge : son pourri ? Stade de France pas adapté ? Baisse de régime pour DM ? 

Brigitte : Incroyable ambiance a Lille….40 ans que je suis Dave et son groupe. Je les adore. .Des que j’ai su qu’ils venaient en France..vite vite ..il fallait  réserver une place en me levant a la première heure pour être sûre de ne pas les rater !!! J’attendais ce moment depuis octobre et quand je suis arrivée au stade je n’y croyais toujours pas…comme dans un rêve …J’étais très excitée comme a 12 ans. ..Je restais les yeux braqués sur Dave… Incroyable concert magique fabuleux ou l’art la simplicité et l’amour des autres ne faisaient qu’un…quel moment de bonheur et de partage…Je n’ai jamais vu un concert aussi magnifique et vibrant… Bravo DM. Nous vous aimons tellement..Du grand Dépêche Mode.

Philippe : Un petit récap du concert de dépeche mode stade de France. Arrivée 10h30 pile pour entendre les répétitions. Quelques personnes déjà en place. Un petit tour et vers 11h00 avec le fils ont s’installent dans la file et c’est parti pour 10 heures d’attente. Et oui si tu veux être devant c’est le prix à payer. Là ont ce retrouvent obligatoirement parmi les fans inconditionnels. Ce qu’est le fiston. À ma grande surprise je me suis retrouvé parmi des gens d’une très grande gentillesse, ils n’étaient pas là pour voir un concert mais pour voir un groupe qui partage leurs vies au jour le jour. Dans leurs collections, la musique et les concerts. On nous passe un marqueur on ce note le numéro à suivre, ce qui te permet de retrouver ta place si tu t’absente. J’ai le 48 donc je me dit que je vais être bien. Les gens tendent des couvertures de survie au-dessus des barrières pour qu’on puisse se protéger du soleil car oui ça va taper. On nous demande si on a besoin de quelque chose qu’on peut nous ramener à manger ou de la boisson. On nous propose un brumisateur pour se rafraîchir. Des gens d’une grande humanité. 18h00 les portes s’ouvrent, 20h00 première partie, 21h00 dépêche mode commence ce spectacle grandiose non pas par la qualité des décors mais par la qualité de ce qu’ils sont. Et toujours un public extra. Je tiens à remercier ces gens (fans) que je ne connais pas qui ont été d’une grande gentillesse, générosité et humanité. Pour conclure, on dit que l’on reconnaît l’âme d’un groupe à sont public. L’âme de dépeche mode est grande, elle est immense. Merci fils de m’avoir fait vivre ce moment inoubliable.

Anelso : Merci a eux de nous mettre une telle joie un tel bonheur pendant ces deux heures on les aime tant ça a fait drôle au début sans Fletcher mais il était la quand même dans nos cœurs et puis quelle ambiance !!! malgré une sono perfectible et ce grand M bloqué en fond de scène la set list était incroyable et un final de folie

Perneseric : La première fois que je les avais vu sur scène c’était au Zénith de Toulon grâce à mon père qui avait accepté de m’accompagner tant j’avais craqué sur Songs Of Faith And Devotion. Oui je parle bien de Depeche Mode. Merci à lui car j’avais pu voir comment l’un des groupes phare des 80’s avait su évoluer et transcender une de leurs œuvres majeures. Période compliquée pour Dave Gahan en proie à ses démons mais compositions sublimes et pleines d’énergie. On était en 93…. Trente ans plus tard, Memento Mori me ramène au Stade De France. Je pense à ce jour de 93, le temps à passé, Papa est parti ,mais je suis toujours aussi preneur des compositions de ce groupe. Qui a évolué, qui sait durer et mettre en mélodies et paroles ciselées les tourments de la vie. Memento Mori, la perte, l’absence celle d’Andy Fletcher, mais aussi celle qui nous frappe tous à un moment ou un autre et qui nous rappelle qu’il est urgent de vivre, de créer, de partager pour aller de l’avant. Et c’est ce que DM va faire avec application et énergie dans l’enceinte Dyonisienne ce soir de juin avec en toile de fond un coucher de soleil magistral. Un set qui est un résumé de ce que Dave Gahan et Martin Gore savent faire le mieux. De My Cosmos Is  Mine à Personal Jesus explosif c’est un mélange de retour au 80’s avec Everything Counts, des incursions dans la période Songs Of Faith avec In Your Room, Walking In My Shoes qui petit à petit font monter l’ambiance. Les voix sont claires, précises, l’énergie toujours présente même si les morceaux récents de belle facture sont plus introspectifs comme Speak To Me. Les introductions ont été retravaillées et sont de jolis jeux de piste auditifs. Elles aboutissent sur les tubes imparables Never Let Me Down Again, Enjoy The Silence, le stade décolle de plus belle. Fin du set Happy Birthday résonne à la demande d’un fan. Je sors du stade, heureux, repu de ces deux heures quinze entre présent et amnésie. Et comme le dit si bien Martin Gore, ce sont des souvenirs en plus , bien rangés dans la mémoire, dans l’âme….. I’m taking my soul with me…..

Géraldine : Je suis allée voir mon groupe que j aime depuis 32 ans pour la 1ère fois de ma vie en concert à Lyon le 31 mai, dans les gradins du Groupama Stadium : je suis restée sur ma fin car j avais tellement envie de me lever et danser mais je n’ai pas vraiment pu car des spectateurs derrière se plaignaient….le concert a manqué d ambiance alors que j étais sûre qu à un concert de DM c ‘etait juste impossible.  Donc je suis retournée les voir ce samedi 24 juin au stade de France en pelouse or cette fois et là, j’ai assisté à un concert de dingue !! L ambiance du public, le show de DM, j’ai chanté et dansé pendant 2h30, c etait grandiose, mémorable et exceptionnel.Je suis tellement heureuse aujourd’hui avec des étoiles plein les yeux et des souvenirs plein la tête. J espère qu ils reprogrammeront de nouvelles dates françaises car j y retournerai une 3e fois!

Flo : L’attente a été longue ! 6 ans depuis le dernier Bercy. Mais que c’est bon ! Même à leurs âges, ils donnent un show exceptionnel. Et le vivre en fosse permet de savourer toutes les émotions. Retrouver des amis, retrouver des fans, vus lors de précédents concerts, en rencontrer des nouveaux, l’attente depuis tôt le matin pour espérer être au plus près de la barrière, la journée sous une chaleur écrasante ponctuée d’aller-retour aux cafés alentours ou aux toilettes, l’excitation quand arrive 18h et l’ouverture des portes, et enfin la délivrance et la satisfaction quand Dave, Martin, Peter et Christian arrivent sur scène. Tout cela fait partie du concert. Très belle scénographie, les chansons s’enchaînent à merveille, anciennes, nouvelles, cultes. Le très bel hommage à Andy m’a submergé. Petit à petit, les chansons deviennent un véritable échange entre Dave et le public. J’ai adoré ce concert et j’ai emmagasiné tous ses souvenirs, bien rangés avec les autres (depuis 1990). Un petit agacement quand même contre ces fans néophytes qui se croient tout permis. 

François : Extraordinaire concert de Depeche Mode à Lille, hier soir, avec un Dave Gahan survolté et une magnifique complicité entre lui et Martin Gore sans oublier l’émouvant hommage à Andrew Fletcher. Un concert mythique assurément. Le stade comble était à moitié belge

Caroline : Amazing concert du groupe avec lequel ma génération a grandi! Pas une fois je ne suis allée en boîte sans danser sur Enjoy the silence! Une énergie incroyable et une telle communication avec le public! Des voix inoubliables! 70 000 personnes dansant et chantant ensemble, c’est incroyable. Toutes générations confondues, ce fut un moment magique, mon fils de 19 ans a adoré! Merci Messieurs !!!!

Eric : Concert au stade de France samedi « Quoi dire » tous simplement génial  nos anciens ont encore la pêche !! Les moins: début concert de jour / le son des artistes précédant Hou la la bof. Les + fin de concert de nuit « jeux de lumières » la voie de Dave encore et toujours extra le son nickel (place dans les tribunes Zone Z en bas) je ne vous parle pas des 45 dernières minutes de folie ou s’enchaînent les mélodies que je préfère avec une pointe d’arrangements musicale à ce faire dresse « les poils » bref j’ai 53 ans et toujours adoré DM et je peux vous garantir que ce concert était EXTRA-GOOD. Bisous à tous

Marie-Jeanne : J’ai été au concert de dépêche mode samedi 24 juin à Paris. Ce groupe que j’adore depuis l’adolescence ne m’a pas déçu, j’ai 50ans, et je ne me lasse pas d’écouter ce groupe légendaire pour moi. Le seul point noir pour moi c’est que je ne voyais rien du tout même les écrans n étaient pas assez haut je ne suis pas très grande et malheureusement pour moi et certains de mes proches nous n’avons pu écouter que les chansons très dommage car je voulais aussi voir le groupe. Mais tempi je garderais se concert magnifique. 

Christophe : Bonjour fan de dm depuis 1990, mes premiers concert j ai pu les faire a partir de 2001 avec ma compagne fan de depeche mode depuis.1990.comme moi. C est un des seul point commun que nous.avons ! Nous sommes allés concert cette annee a lyon decine charpieu(.habitons annecy). Tres content du groupe, bon son et.ils assurent toujours autant. Neanmoins decu par l.ambiance du stade. C est la premiere fois que nous allons les voir places assises( cat or)  Les gens sont restés assis… Nos 2 filles pour la premiere fois sont venues les voir egalement en cat 1 et triste de voir ces gens assis sur leurs sieges. Nous avons retenté l experience a lille et la…. splendide!! Le groupe au top! Un dave gahan en feu. Les fans lilllois rarement assis!!!!!! Ambiance de folie!!! Et dans la foulée, sur Enjoy The Silence, j’ai fait ma demande en mariage pour nos 30 ans de vie ensemble… et bien évidemment… elle a dit oui !

Anne : L’exultation de l’attente transformée en frénésie lors de l’arrivée du groupe du scène! Nous nous trouvions devant la scène… quel bonheur de pouvoir presque toucher du doigt son idole… Ils nous ont littéralement transportés avec eux, un public totalement acquis, chantant à gorge déployée…70000 personnes à l’unisson, jusqu’à faire durer les chansons au delà de leur limite… Voir la tête de Dave et Martin complices et presque surpris de voir à quel point nous sommes bel et bien au rendez vous!
140000 bras qui se lèvent au rythme de «Never let me down again »… 2h15 de pure folie… croiser et échanger avec des fans du monde entier et faire la rencontre de Suisses dont « Florence » qui siffle comme personne! Nous revenons en Normandie des souvenirs plein la tête et des étoiles plein les yeux… en repensant à ce moment magistral qu’ils nous ont offerts! MERCI

Claudy : Je les ai vus à Lille un cadeau de mes filles on a été en famille j’ai vu Dm en 2009 au stade de France mais incroyable cette énergie cette puissance un groupe incroyable Dave Gahan showman extraordinaire souvenir inoubliable merci Depeche mode.

Patrice-Alexandre : Une belle expérience comme à chaque fois, c’était mon 10eme concert depuis 2001 et on a attendu de 9h30 du matin jusqu’au soir pour accéder à notre porte pelouse or (Les gens qui attendaient avec nous étaient vraiment supers sympas). Une 1ere partie sympa pour chauffer le stade (de France) et ensuite un groupe au top de sa forme est arrivé sur scène me faisant pleurer d’émotion et de joie, nous étions assez près de la scène et il y avait une communion magique et chamanique entre Dave Gahan et le publique, Deuxième moment ou j’ai versé des larmes pendant Sister of night, cette chanson est une des DM que nous avions en commun avec ma sœur décédé en 2005  et qui me fait penser à elle à chaque écoute. Le concert était génial avec un public connecté avec Dave et le groupe.(une belle complicité avec son publique). Nous sommes parti heureux et sur un nuage de bonheur.

Sandrine : Je me souviens, il y a 6 ans, d un concert (sur 3 cette année là) du groupe que j écoute depuis l âge de 14 ans, 34 ans aujourd’hui de frissons à chaque écoute d album de ce groupe… DEPECHE MODE ! 

6 ans… une attente interminable qui voit enfin le bout dans ce stade de Lille. Une impatience m a envahit toute la journée devenant presque usante pour les amis/famille qui m accompagnaient au concert le 22 Juin 2023. Avec ma fille âgée de 22ans, je trépigne, je ris, je fais la folle dans mon nouveau T. Shirt DM que je garde précieusement dans mon dressing depuis des mois et le petit « DM » dessinés sur la joue… puis les portes s ouvrent… vite trouvons nos places. Heureusement, nous sommes dans les gradins pas besoin de pousser. 1ere partie plutôt sympa electro anglaise (chanté par une française) bruyante, je m inquiète du son pas ouf, j ai envie d entendre Dave nous parler comme s il ne s adressait qu à moi comme chacun d entre nous je pense. Je n écoute plus j attends je descends m acheter un verre collector, je ris encore je gesticule sur mon siège quand d un coup les lumières s éteignent. Un énorme vent d acclamations d applaudissements rempli le stade en moins de 2 secondes.  Je me rends compte que je n étais pas la seule à m impatienter ! 1ere note reconnue de DM une note suffit, entrée de Peter, puis Martin et hurlements encore plus forts ( j aurai bien eu besoin d entraînement)  et quelques mètres derrière, notre cher DAVE GAHAN dans son costume 3 pièces noir et rouge brillant de paillettes. Quelle élégance quelle classe ! Wouah seconde note on reconnaît My cosmos is mine j avoue ce n est pas ma préférée mais les voir en face de moi avec tant de classe de talent je suis aux anges sur petit nuage et je réalise que le son est PARFAIT ! Je ne sais plus comment ni combien de titres se sont enchaînés magistralement tellement je vivais mon concert de DEPECHE MODE à fond en me disant qu ils ne pouvaient pas nous abandonner, nous tous, présents dans ce stade tous avec la même intensité de bonheur ! Non ça ne peut pas être le dernier de l existence de DM.  Martin et Dave complices comme je ne les ai jamais vu. On ne dirait pas la fin d un groupe mais le début de ce même groupe sans notre regretté FLETCH pour qui les mains levés en forme de cœur ont recouverts les têtes de ce stade. Rappel … le désespoir au fond de toute mon âme. Je n ai pas entendu Never let me down again ??? Non ne partez pas !!! Please j en veux encore c est trop court ! Assenceur émotionnel ils reviennent, je reprends ma folie DM, on chante on crie on danse. Levé de bras… attention…. Et BAM 28000 personnes en cœur bras en l air au rythme de Dave gahan maître du jeu ce soir encore pour LE CHAMPS DE BLÉ. La tension est au maximum pour une nouvelle attente de plusieurs années. Ils nous tiennent encore en haleine alors ils reviendront ! J en suis sûre… Beaucoup d’émotion !!!

Sandra : Fan depuis mes 16 ans (j’en ai 49), c’est avec une grande joie et beaucoup d’émotions que j’ai pu voir pour la première fois un excellent concert de DM. Début du show très calme et la puissance est montée pour finir par éclater pour notre plus grand plaisir. Dépêche mode est vraiment mon groupe préféré avec U2. Très bon souvenir gravé à tous jamais dans ma tête et mon corps. Vive DM….

Margaux & Pierre : Avec mon compagnon nous sommes allés au concert de Depeche Mode le 31 mai 2023 au Groupama Stadium de Lyon. Nous avons reçu les places de concert en cadeaux de Noël de la part de ma grande soeur qui savait que c’était un de mes groupes préférés et que je rêvais d’aller les voir en concert avant qu’ils ne s’arrêtent. J’ai 25 ans et j’avoue que mes parents étaient un peu jaloux de ce super cadeaux car c’est toute leur jeunesse ! L’organisation était super, l’ambiance incroyable. Nous avions des places assises très bien placées en face de la scène nous n’avons donc rien loupé du spectacle ! Le mélange de musiques entre le dernier album et les titres mythiques comme I Just Can’t Get Enough ou Enjoy The Silence nous a permis de nous déchaîner, de danser, de chanter (parfois en yaourt) ! Ce moment restera gravé en moi et je suis très heureuse d’avoir pu y assister, c’était un show magique ! 

Sylvie : Il m’a fallu attendre mes 62 ans pour ENFIN pouvoir m’offrir le sésame pour assister au concert de Dépêche-Mode à Lille.. Le jour J, plus j’approchais de mon siège et plus je regrettais de n’avoir osé la « fosse » histoire d’etre au plus près de ce groupe mythique.. La soirée fût plus que magnifique.. c’était magique, un moment suspendu dans le temps. Quelle présence scénique, quelle voix, quel ferveur.. C simple, j’ai adoré……. 

Sandrine : 1ere partie pas top. A oublier Mauvais son .désagréable Aucun mot pour le public. Stupéfaction. DM super concert en fosse. Dave et Martin ont toujours leur voix Magnifique et unique, leur énergie nous a porté pendant plus de 2heures , même sous la pluie ! Une alternance entre les morceaux récents et les plus anciens cultes montre que Dépêche Mode est un groupe intergenerationnel qui a su durer . J ai eu l impression de revenir à mes 16/18 ans. Bravo. 

Alexandra : j’étais au Stade de France ce samedi 24 juin, c’était mon 1er concert de DM. En 1990, j’ai manqué la tournée Violator qui a marqué un grand changement dans l’orientation musicale de Depeche Mode. J’ai longtemps regretté de ne pas avoir vécu cette tournée historique, puis le temps a passé, mes études m’ont occupée quelques années, j’ai eu une vie personnelle bien remplie avec des hauts et des bas, une vie professionnelle prenante, je me suis un peu désintéressée des groupes que j’aimais, j’ai aussi moins couru les salles de concerts. C’est la vie. Depuis l’annonce de la sortie de leur dernier album Memento Mori en 2022, j’ai attendu avec impatience celle de la tournée. J’ai compté les jours, les mois. Comme l’ado passionnée que j’ai été, comme l’adulte tout aussi passionnée que je suis dorénavant.
J’ai franchi les portes du Stade de France avec émotion ce samedi soir… j’allais enfin voir Depeche Mode, après 33 ans d’attente ! Et je n’ai pas été déçue ! La ferveur du public m’a impressionnée tout comme l’énergie envoyée sur scène. C’est beau d’avoir 60 ans et de se donner avec autant de force et de grâce à son public. Même si la première heure du concert m’a paru un peu molle, j’ai été heureuse de constater qu’il y a des titres qui fédèrent intensément : everything counts, wrong, enjoy the silence, just can’t get enough, never let me down, personal Jesus. J’ai vecu ce concert avec toute mon âme. 
Néanmoins un petit bémol : les places étaient très chères (125 €), et depuis notre siège, impossible de voir les videos projetées sur l’écran central. C’est dommage car la direction artistique par Anton Corbijn vaut manifestement le coup d’oeil.  

Stéphanie : a Lille je m attendais a mieux mal placer pas d’écran géant j ai payer pour écouter de la musique un peu déçue cordialement 

Arnaud : Je suis allé voir Depêche Mode dont je suis fan depuis leur début à Lyon le 31 mai. Pas de première partie, un concert d’une durée de plus de 2h mais avec un son pourri, trop de basses, limite à avoir des grésillements. C’est dommage !!! Pour un prix de presque 100 euros. J’avais été les voir au Park expo de Genève il y a un peu moins de 10 ans le concert avait duré moins longtemps mais le son était top, pas le cas  au Groupama Stadium.

Adaire : 3h30 de route et quelques 340 kilomètres plus tard… Villeneuve d Asq……20h00….arrivée devant ce grand stade, une foule immense…. Groupe mythique des années 80….Depeche Mode ….Moi  je vais voir Depeche Mode pour de vrai, j ai grandi avec eux sans être une fan absolue mais que de souvenirs….de ces années là…. Le stade est rempli c est magique….et voilà que tout le monde se met à appeler le groupe Arrivée sur scène made in eux, sobre et rock en meme temps Et la tout bascule….les premières notes, et cette voix si particulière….la New wave attitude Le groupe nous transporte dans son univers chaque morceau est un bonheur absolu, qui dégage une énergie de dingue quelque qu en soit le rythme Les effets de lumière mettent la scène en valeur, les prises de vue mettent chacun des membres en avant et rendent le spectacle plus intense. Le batteur extraordinaire, le guitariste waouh et son solo voix à couper le souffle…Le synthe….que dire du pure Depeche Mode…. Et ce bel hommage à celui parti voyager au travers d autres temps….d autres univers….moment d émotion Et puis il y a lui qui en balance , quelle  classe, quelle élégance, quelle énergie, quelle puissance dans la voix, quelle justesse dans les notes…..un showman Magnifiquement possédé. Ils sont là oui ils sont de retour et c est tout simplement génial. Quelle belle playlist mélange des nouveaux et anciens temps… Un spectacle emprunt d énergie, d elegance et Rock à la fois Ils n ont pas changé bien que le temps ait passé. L âme de Depeche Mode était bel et bien là Alors Merci de nous avoir fait rêver, Messieurs, Merci de nous avoir a nouveau transmis cette énergie qui nous a porte depuis notre adolescence…. Merci également aux invisibles qui ont permis tout ca Un extraordinaire moment de partage avec le public Pourquoi ça ne dure pas plus longtemps ? On en veut encore …..Mais serais je devenue fan ???? Un peu je crois…

Ombeline : Comment vous résumer en quelques lignes cette folie… Parce que j’ai fait Lyon… et Lille… et Paris (et même Anvers!)… On va essayer d’être court! (Ou pas :p ) Ce qui m’importe le plus en concert ce sont ces rencontres, cette osmose et tous ces instants partagés entre fans. La queue des le petit matin fait partie intégrante du concert :p Chaque date est unique pour moi. Je fais des créations autour de DM (des bijoux dont un pendentif à l’effigie des ailes de l’album) et autant vous dire que la tournee a commencé de manière intense pour moi… Puisque ce pendentif m’a valu une rencontre backstage a Lyon! Un mail reçu un beau soir à heure tardive alors que je lézardais dans le canapé au lieu d’aller au lit… j’en croyais pas a mes yeux et pourtant c’était réel! « The depeche mode team has decided to invite you for a meet and greet for the Lyon show ». Je l’ai relu 15 mille fois, compté les jours, fait un deuxieme pendentif pour offrir à Martin Gore vu que c’était tout à fait dans son style… La rencontre fut brève (a peine le temps de dire ouf que c’est déjà fini) mais intense ! J’étais là, et ils était là en face de moi. J’en ai tellement rêvé, bavé sur les photos des autres fans a qui ca arrivaient, et la c’était mon tour! Carine du film Spirits in the forest était la aussi… C’est moi, inconnue au bataillon, qui l’ai fait passer… bref le monde a l’envers. On a ensuite filé en gradin vibrer avec deux autres du film. Je revois cette vidéo de Carine et moi en train de planer littéralement pendant Speak to me, encore un peu sonnées par ce qu’il venait de se passer il y a une demie heure. 3 semaines plus tard, la doublette Lille / Paris a deux jours d’intervalle. Cette fois ci j’ai fait la queue très tôt le matin avec les potes… Sous la pluie à Lille, en plein cagnard à Paris. Mais la patience paie, le premier rang était pour moi! On passera la story instagram bien cucul de ma main sur la barrière, mais c’était plus fort que moi! Première soirée de folie à Lille. J’étais habillée comme Martin Gore, une réplique maison d’un des costumes de scène de ce Memento Mori tour, bien brillant à souhait… et surtout repérable! Ce qui m’a valu plusieurs eye-contact de la part de Dave, qui m’a même choppé la main en me regardant droit dans les yeux avec THE putain de sourire. Juste incroyable. A la fin du concert, j’ai sorti avec une amie une pancarte « Guitar pick please » que nos voisins hilares n’ont pas vu venir… Bingo, Peter Gordeno a sorti 2 mediators de sa poche et nous en a donné un chacune! La soiree a continué jusque très tard dans la nuit puisqu’un très bon pote organisait un after spécial DM dans le club en face du stade. Soirée de folie ou on a danse comme des dingues, des super Mix et des raretés qu’on aimerait ré-entendre en concert. J’ai pu retrouver tous les potes de tournée et ait eu la chance de parler DM autour d’un verre avec Alma Rota (du magazine RollingStones, passionnée DM). 2 jours plus tard Stade de France pour clore en apothéose ces 3 semaines de folie. C’est même a Paris que l’ambiance était la meilleure! Le son était nikel, aucun problèmes techniques, un Dave au summum de sa forme. J’ai pris très peu de photos de ma tournée, mon but était de vivre l’instant présent, de vibrer, de m’enjailler comme si c’était le dernier. J’ai toujours eu du mal à comprendre ces gens qui payaient 90 balles une place pour passer le concert sur leur écran. Des eyes-contact de Dave à nouveau a Paris (c’est vraiment un bon plan de s’habiller en Martin quand on est au premier rang!). J’ai loupé le mediator lancé par Martin à peu de choses près. On etait 3 ou 4 personnes a genoux a le chercher par terre quand quelqu’un l’a trouvé… j’ai tente de le negocier… peine perdue… je me suis résignée… Puis Dave est arrivé dans notre coin, serviette à la main. Je me suis dis direct « celle la c’est pour moi! ». J’ai crié comme une folle, il m’a pointé du doigt, l’a lancé pile dans ma direction. Je l’ai choppé. J’étais comme une gosse a Noel! Clap de fin pour cette tournée. Dernier métro choppé a l’arrache, le corps présent mais l’esprit totalement ailleurs. Train du retour. Boulot. Un lundi matin difficile! 

Benedicte : Excellent show Dépêche mode ce jeudi 22 juin au stade Pierre Mauroy. Dépêche mode toujours au top , Dave et Martin ont très bien fait participer le public, le groupe a tout donné pour le plaisir des fans

Julie : Je n’ai jamais aimé un groupe comme j’ai aimé Depeche Mode. Mon premier concert c’était eux, j’avais 16 ans c’était à Lyon en 2013. J’en ai donc 10 de plus pour le stade de France cette année, je ne fais plus partie des plus jeunes. A chaque tournée, je casse ma tirelire d’étudiante pour les voir, toujours seule parce que ni mes parents ni mes amis n’ont de goût pour ce groupe. Et pourtant… je n’ai pas sauté au plafond lorsque j’ai entendu les premières notes de Ghost Again, je n’ai pas davantage aimé Wagging Tongue et je n’ai même pas acheté l’album Memento Mori. Les vrais fans pourraient me clouer au pilori pour moins que ça ! Samedi 24 juin, il est bientôt midi, je pars pour la boulangerie du quartier Faubourg Montmartre. J’y croise un fan Australien qui me fait un high five et me montre son nouveau tatouage sur l’avant bras « Memento Mori ». Mes amis sont stupéfaits. Je vais pique-niquer avec eux. Je me rends seulement à 17h30 au stade de France. Je savais que j’allais être bien placée, une place pelouse or. Un concert réussi, indéniablement, c’est avoir une bonne place. Néanmoins l’heure tardive à laquelle je suis arrivée m’a donné l’impression que je trichais, je n’avais pas le droit d’être bien placée, j’avais eu d’autres priorités. J’ai tenté de donner le change en portant un tee shirt du groupe et des boucles d’oreilles représentant des pictogrammes de la pochette de Black Celebration que j’avais réalisées il y a des années…Ce n’était qu’un simulacre. Je ne trouvais plus que tout ce que produisait Depeche Mode était absolument excellent. Je ne m’étais pas prise en photo avec le gobelet Depeche Mode vendu les soirs de concert. Je ne fantasmais plus sur les fesses rebondies de Dave. Je n’étais donc plus une vraie fan…  Dans la file d’attente je reconnaissais quelques têtes connues de fans français, de loin. Au moment où les portes allaient s’ouvrir je me suis enfilé une première petite bouteille d’eau et ai caché le bouchon d’une  autre dans le pli de ma ceinture, il faisait trop chaud pour se passer d’eau. Acheter de l’eau sur place quand on est seule c’est perdre sa place. J’étais à 20 mètres de la scène. Je voyais parfaitement.  J.Beth la première partie n’a pas déchaîné les foules, boudée par les fans, elle le savait avant même d’avoir joué une note «  Merci d’être venu si tôt…vous n’aviez pas tellement le choix en même temps » .Mes voisins, jeunes et un peu taquins criaient « On ne te connait pas mais on t’aime déjà ». Les premières parties de Depeche Mode sont souvent mal accueillis. Pourtant, c’était indéniable, elle avait quelque chose. Ses mêmes chansons chantées par Dave auraient surement eu un effet tout différent sur le public…et J.Beth était un choix cohérent. Elle avait collaboré avec Primal Scream, la première partie de Depeche Mode durant le dévotionnal tour. Je l’aimais bien. Puis Depeche Mode est arrivé. Rien qu’en les voyants à nouveau, j’ai replongé. Le rideau noir qui tapissait le fond de la scène s’est écroulé laissant apparaitre un gigantesque « M ». Mes voisins, toujours amusés, se sont empressés d’hurler « Michael » « Mathieu Chedid ». Et les choses sérieuses ont commencé. Portés par Dave, nous chantions de concert les morceaux d’Ultra, de Music for the masses, de Songs of faith and devotion… Les nouveaux morceaux n’ont pas trouvé grâce à mes yeux…jusqu’à Speak to me. Personne ne fredonnait cette chanson là. Les gens se sont tût et les mouvements de danses ont cessés, nous écoutions religieusement. La projection d’Anton Corbjin donnait à voir un panoramique de croix mortuaires en très gros plan. Le son était lourd. J’ai été sidérée, ils m’ont cueilli. Je ne croyais plus cela possible. Le morceau était sublime. Sublime au sens esthétique du terme. Speak to me est abyssal, le morceau nous aspire. Instantanément, reviennent à la surface le sentiment des premières découvertes de certaines chansons : ce que cela nous fait dans notre chair. On a du mal à s’en remettre mais on revient sur terre tout doucement pour apprécier consciemment le reste de la playlist en espèrant que le moment dure toujours. Mais il termine…après un Happy Birthday to us, to Paris…

Fiô : L’attente a été longue ! 6 ans depuis le dernier Bercy. Mais que c’est bon ! Même à leurs âges, ils donnent un show exceptionnel. Et le vivre en fosse permet de savourer toutes les émotions. Retrouver des amis, retrouver des fans, vus lors de précédents concerts, en rencontrer des nouveaux, l’attente depuis tôt le matin pour espérer être au plus près de la barrière, la journée sous une chaleur écrasante ponctuée d’aller-retour aux cafés alentours ou aux toilettes, l’excitation quand arrive 18h et l’ouverture des portes, et enfin la délivrance et la satisfaction quand Dave, Martin, Peter et Christian arrivent sur scène. Tout cela fait partie du concert. Très belle scénographie, les chansons s’enchaînent à merveille, anciennes, nouvelles, cultes. Le très bel hommage à Andy m’a submergé. Petit à petit, les chansons deviennent un véritable échange entre Dave et le public. J’ai adoré ce concert et j’ai emmagasiné tous ses souvenirs, bien rangés avec les autres (depuis 1990). Un petit agacement quand même contre ces fans néophytes qui se croient tout permis. 

Anne-Joséphine : J’ai assisté au concert de Depeche Mode au Stade de France, samedi dernier. Quelle ferveur dans le public ! Ce concert était selon moi, magique ! Une présence scénique incroyable du groupe, et particulièrement de Dave Gahan, tellement charismatique. Le mélange entre chansons du dernier album et titres incontournables, tels que « Enjoy the silence », « Personal Jesus », ou encore « Nevers let me down », a très bien fonctionné. Le public chantait et dansait; il y avait vraiment une osmose entre le groupe et nous. De plus, l’hommage rendu à Andrew Fletcher sur « World in my eyes » était très émouvant. J’ai également constaté une plus grande connivence entre Dave et Martin à l’occasion de ce concert, qu’à celui de 2017, auquel j’avais également assisté. Bref, je suis repartie de ce concert avec le coeur et la tête remplis de magie ! 

Fabrice : A l’image du dernier album, le concert du stade de France était constitué d’un mélange d’émotions. Variant entre tristesse, hommage à Andrew Fletcher, le spectacle, d’une durée dépassant les deux heures est aussi l’occasion de démontrer la nouvelle cohésion entre les deux légendes Gore et Gahan. Ce dernier, véritable bête de scène revenue de tout, avec sa voix grave et ses déhanchements a véritablement enflammé les 70000 spectateurs présents. Au fur à mesure de la tombée de la nuit, les jeux de lumières ont apporté des touches de couleurs envoûtantes. Les tubes s’enchaînent jusqu’à un Personnal Jésus venu clôturer le show avant qu’un Gahan épuisé entonne Un Happy birthday pour l’un des fans présents dans la foule. Bref un concert émouvant et puissant qui constitue un moment inoubliable pour des fans conquis.

Aude : j’ai assisté au concert de Dépêche Mode samedi 24 Juin au stade de France avec ma meilleure amie Alexandra. Nous étions en pelouse or. Nous avons 49 ans et nous avons assisté à notre tout premier concert lorsque nous avions 16 ans. Il s’agissait de Dépêche Mode le 3 novembre 1990 au Hall Rhenus à Strasbourg, lors de la tournée World Violator. Non seulement c’était notre première expérience mais en plus nous étions très fans de Dépêche Mode et en avons toujours gardé des étoiles plein lesyeux.  A cette époque, pas de téléphone portable, alors pour Waiting for the night, des points lumineux avaient été diffusés sur le plafond du Hall Rhénus pour illustrer des étoiles dans le ciel.  A l’annonce de la tournée 2023 j’ai proposée à mon amie de renouveler l’expérience, 33 ans plus tard ! Nous voilà partie de Strasbourg samedi matin, en bus, à destination de Paris. C’était ma 2ème expérience au Stade de France après U2 pour la tournée Joshua Tree, et pour mon amie également, mais pour un match de foot. A l’arrivée, nous entendions les répétitions et réglages pour le son. J’avoue avoir un peu craint pour la qualité du son, car pour U2, ce n’était pas parfait.Puis ce fut l’attente dans la file de la Porte S, avec une ambiance bon enfant et surtout beaucoup de soleil et de chaleur ! Sur la pelouse, on redécouvre la grandeur du Stade de France et ,avec grande surprise, on arrive à se placer par trop loin de l’avancée de la scène . La musique d’attente aurait pu être plus adaptée et variée. A titre d’exemple, j’ai assisté au concert de GHOST au Zénith de Strasbourg le 28 Mai et la musique d’attente était très variée (pop, rock, etc…) et lorsque passe « Take on me » de A-HA, la foule s’est mise à chanter ! Il y a eu tout de même plusieurs tours de ola en attendant, puis le début du concert. J’avoue ne pas avoir accroché à la 1ère partie par Jehnny Beth, et suis même surprise car le style de musique est vraiment différent de Dépêche Mode. Mais il faut bien donner sa chance à tous les artistes. Ensuite, je n’ai pas été conquise par l’ouverture du concert de Dépêche Mode, mais heureusement, ils ont rapidement su nous rassembler. Quelle plaisir de voir un stade entier chanter les refrains, fredonner les musiques, taper dans les mains et balancer les bras sur « Never Let Me Down Again » . Il n’y avait pas de mise en  scène spectaculaire avec flammes ou feu d’artifice, mais ça n’a absolument pas manqué. Dave et Martin ont su occuper la scène et faire le show. Nous étions à quelques mètres d’eux pour l’interprétation de « Waiting for the night », quelle émotion. 
L’ambiance était vraiment très bonne, une belle communion du public avec Dépêche Mode, et quel plaisir de les voir se prendre dans les bras – sans oublier l’absence d’Andrew Fletcher. La set list était vraiment bien pensée et je pense que la majorité des spectateurs ont apprécié toutes les chansons. Pour moi, ce concert était EXCEPTIONNEL, et je ne m’y attendais vraiment pas. Une belle surprise ! Parmi tous les concerts que j’ai pu faire, il fait partie des meilleurs, avec également Scorpions à la Foire aux Vins de Colmar en 2018 , Indochine et Nightwish. D’ailleurs, Indochine avait fait la 1ère partie d’un concert de Dépêche Mode dans les années 80… Je vais assister au concert d’Indochine dimanche 2 juillet aux Eurockéennes de Belfort ! Voilà pour mon témoignage, je pourrais vous en parler encore des heures et j’en garderai vraiment des très bons souvenirs et très longtemps !

Florence : Deuxième concert de Depeche Mode pour moi, 17 ans après Touring the Angel qui a fait de moi une fan. En 17 ans, ils n’ont rien perdu de leur énergie, c’est impressionnant ! Dave Gahan fait preuve d’une belle générosité à travers ses échanges et sa complicité avec le public, il se donne toujours autant sur scène. Une merveille de concert qui m’a emmenée très haut… J’ai du mal à redescendre et je croise les doigts pour que ce ne soit pas leur dernière tournée.

Marie-Juliette : Je m’appelle Marie-Juliette, j’ai 22 ans, et j’ai grandi avec Depeche Mode. J’ai assisté à mon 3ème concert du groupe samedi dernier au Stade de France en compagnie de ma maman, qui m’a fait découvrir leur musique dès mon plus jeune âge. Je pense qu’à l’instar de toutes les critiques que j’ai pu lire, qu’elles viennent de fans ou bien de la presse, mon verdict est clair: ce concert était absolument exceptionnel. Au delà de l’immense bonheur procuré par le fait de retrouver mon Dave et mon Martin (et Christian et Peter bien sûr!) tant aimés après 5 ans, tout était absolument génial! La setlist était excellente, constituée aussi bien de morceaux déjà présents à la dernière tournée mais parfaitement ré-arrangés (mais quelle claque que la guitare de Martin sur cette version d’In your Room) ou bien intervertis (quelle excellente idée que d’avoir placé Walking in my shoes en 3ème position afin de réveiller la foule); que de chansons que je rêvais d’entendre en live (je pense en tout particulier au duo Gahan/Gore illuminé par une armée de téléphones sur Waiting for the night, qui m’a donné les larmes aux yeux). Le son était particulièrement bon également malgré la configuration stade, l’heure de balance (démentiel ça !) jouée et chantée qu’ils nous ont offert pendant l’attente a porté ses fruits! Le visuel était également sublime, très sobre comme à son habitude, mais savamment réfléchi. Je pense notamment aux « grabbing hands » gantées de blanc dansant sur Everything counts, ou bien aux jeux de lumière discothèquiens roses et jaunes sur Just can’t get enough qui inondaient la foule ! Mais surtout, ce qu’il y avait de plus magique dans ce concert, c’était l’aspect humain. Dave était au top de sa forme et commandait la foule comme personne (enfin le retour du déhanché devant mes yeux!), Martin était absolument rayonnant (quel sourirecraquant) et je ne l’avais jamais vu paraître aussi détendu et extraverti! Et puis leur complicité faisait tellement plaisir à voir, après tant d’années de tensions et le décès prématuré de Fletch! Mention spéciale à Waiting for the night, où ils se sont échangés un bouquet de fleurs suivi d’un « Mr Gahan! » par Martin à la fois hilarant et adorable. L’interaction avec le public était également incroyable. On était particulièrement énergiques ce soir-là (on arrêtait pas de chanter comme des casseroles n’importe quelle partie instrumentale), probablement ravis de retrouver le groupe après 5 années d’incertitude quant à l’avenir de Depeche Mode; et je sens que cette ferveur n’a fait que renforcer la cohésion des membres et leur plaisir à jouer. En témoignent je pense les assez nombreuses paroles en français qu’ils nous ont adressées ( mention spéciale à un « merci! » de Martin et un démentiel « ça va??? » de Dave) et les bonus improvisés ! Je pense au prolongement de Just can’t get enough initié par Christian à la batterie suite à notre sollicitation chantée et qui a plié Dave et Martin en deux, ou bien à un Joyeux anniversaire que nous avons chanté tous ensemble sous la direction de Dave pour un fan à la toute fin du concert! Dave ne semblait plus vouloir nous quitter (et nous non plus). Voir Depeche Mode en concert fait partie des meilleurs moments de toute mon existence. Leur musique m’a accompagné toute leur vie et j’ai toujours été particulièrement touchée par le mélange de gravité et d’émotivité, d’assurance et d’humilité, de maturité et de sensibilité enfantine que Dave et Martin dégagent sur scène. En plus d’avoir pu retrouver après tant d’années d’attente tout ceci autrement que sur un écran, je pense que j’ai assisté à un moment unique, relevant presque du divin, grâce à des musiciens  particulièrement investis, généreux, et heureux et à un public extrêmement réceptif (et qui parfois commandait le groupe !)Merci à tous les fans pour cet événement incroyable et merci à DM pour nous faire vibrer depuis tant d’années et pour nous avoir offert l’un des plus beaux événements de notre existence. Je n’ai qu’un souhait: retourner en arrière afin d’apprécier pleinement cette soirée que je n’aurais pas imaginé aussi sublime, mais je sais au fond de moi qu’une partie de sa magie vient de l’inattendu et de l’unique. Dans ce cas, « see you next time »! 

Marc : Avec une place en pelouse or, sans autre spécification, je sais que je ne serai pas à la barrière, mais je sais aussi que je ne serai pas à l’autre bout du stade et que je vais pouvoir m’immerger. J’arrive vers 16h, sans stress particulier, pour les raisons susdites, mais aussi parce que je n’ai pas vraiment conscience que je vais revoir Depeche Mode. Il s’est passé six années et tant de choses. Ce n’est pas encore réel. D’un autre côté, mais cela va dans le même sens, je les ai vus tellement de fois qu’une certaine routine s’est installée (de leur côté aussi ! voire d’abord !) : je connais la setlist, j’ai vu plusieurs images. Depeche Mode passe : j’y vais, voilà tout… Mais je vais être cueilli, surpris à nouveau. D’abord j’ai la chance de pouvoir m’installer au troisième ou quatrième rang au bout de l’avancée : ma vue est centrale et dégagée. Ensuite, j’ai compris immédiatement que le son n’allait pas agresser mes oreilles, que, là où j’étais, le micro de Gahan était bien réglé, et que je pouvais ranger les bouchons. « Don’t play with my world… » : aux premières notes du chant, me voici retransporté en février 2006, à l’attaque du concert de Lyon : c’est le même plaisir d’entendre cette voix puissante et réelle. Je suis de nouveau le fan de Depeche Mode que j’ai connu. Et pendant deux heures j’ai l’impression de ne pas avoir fermé les sens. L’ambiance générale dans mon est d’ailleurs assez recueillie et me permet de me livrer à ma contemplation. Le stade bien plein. Le film génial de Corbijn sur « Everything Counts », coup de génie qui compense son coup de mou sur « It’s No Good », trop autoparodique. Le franc sourire de Martin sur « Soul With Me ».« I Feel You » raccourcie, nettoyée et donc améliorée. « Speak To Me » magnifiée par les projections et par les apports de la batterie. Dave et Martin tout près de moi sur « Waiting For The Night », chef-d’œuvre indéboulonnable de mon top 5. Fletch. Quand Dave interprète « World In My Eyes », il le fait calmement, en se mettant comme à l’écart. Il s’efface pour rendre l’hommage. Je fais le signe des yeux avec les mains, et laisse couler les miens. La pluie sur « Sister Of Night » Pas une pluie qui démolit Pas une petite pluie agaçante La pluie parfaite pour ce moment (température, intensité, durée) L’instant « Blasphemous Rumours » que je n’avais pas encore vécu J’ai eu 40 degrés à l’ombre dans la file d’attente à Nîmes en juillet 2006 J’ai eu -4 degrés, la main aussi bleue que mon Coca était rouge, devant la Halle Tony Garnier quatre mois plus tôt, Mais une pluie rafraîchissante, euphorique, de communion en plein concert C’était une première et je n’en ai pas perdu une goutte. Et cette pluie passagère est intervenue pendant le quasi seul véritable événement de la setlist, « Sister Of Night » version album, Chanson pour laquelle l’adjectif extatique convient particulièrement. C’était une première et je n’en ai pas perdu une note.

Pour poursuivre votre lecture, notre récit de la date lyonnaise ainsi que celle parisienne.

[PHOTOS] Depeche Mode @ Groupama Stadium, Lyon, le 31 mai 2023