Rock Werchter : Le meilleur de l’édition 2015 en vidéos

Replongez dans quatre jours de folie et de musique à Werchter avec notamment Mumford & Sons, Muse, Years & Years, James Bay, Florence + The Machine…

 

Jeudi

Très tôt dans l’après-midi, Years & Years a ouvert notre festival en beauté après le rock péchu de Marmozets. Sous le Klub C, le groupe d’Olly Alexander a fait danser les festivaliers.

 

 

Quelques minutes plus tard, c’est au tour de James Bay d’électriser The Barn avec sa folk-rock aussi envoûtante que remuante. Pour preuve cet Hold Back The River qui a clôturé le set de l’Anglais.

 

 

Après les vibes estivales de Jungle et le rock ravageur de Rise Against, c’est Florence + The Machine qui a attiré notre attention. Loin de s’être contentée du minimum en vue de sa headline le lendemain à Glastonbury, Florence Welch a assuré le show avec une énergie inégalée pendant le festival, et s’est même offert un bain de foule. De loin l’une des meilleures prestations de Rock Werchter 2015.

 

 

En guise de conclusion à un jeudi honorable malgré l’absence des Foo Fighters, The Chemical Brothers a refermé cette journée avec un show électrique et aérien.

 

Vendredi

 

Tristement placé à 14h20 sur la Main Stage, Archive a fait oublier la présence du soleil pour livrer un set parfait et grisant.

 

 

Après s’être délecté du reggae sous acides de Damian Marley sous une chaleur écrasante, c’est John Newman qui a fait remuer The Barn à coup de tubes disco-rock jazzy imparables.

 

Suivant Of Monsters & Men, nous ne pouvions passer outre The Cat Empire, l’un de nos coups de coeur du festival. Dans une atmosphère festive à souhait, le groupe a fait remuer tout le Klub C avec leur musique folklorique et entraînante.

 

 

Quelques minutes plus tard, c’est Alt-J qui faisait salle comble sous The Barn.

 

 

Headliner du soir avec le décevant Pharrell Williams (celui qui pensait être à Bruxelles…), Mumford & Sons ont offert un set idyllique et rythmé par leurs tubes au banjo et les morceaux très efficaces de Wilder Mind dont ce The Wolf imparable qui a fait sauter toute la plaine.

 

 

Samedi

Déjà croisé jeudi, Royal Blood a rempilé pour une deuxième dose de rock salvateur en tout début d’après-midi. Pas de soucis pour le duo de Brighton qui a rempli le contrat.

 

 

Etrangement programmé sur la Main Stage plutôt qu’une tente qui aurait été plus appropriée, Hozier a tenté d’exister sans réellement convaincre. Trop grand pour lui.

 

 

Pendant que Kid Ink déversait son champagne sous le Klub C, c’est Noel Gallagher qui, dans un show bien moins clinquant, a tenté d’emporter le public massé devant la Main Stage. Mais seules ses reprises d’Oasis, dont le fameux Don’t Look Back in Anger, ont transcendé.

 

 

Dans la nuit belge, après le duel à distance entre Selah Sue et Lenny Kravitz, c’est The Prodigy qui s’est chargé de réchauffer la Main Stage avec un set très explosif.

 

 

Dimanche

 

Après une journée ouverte en beauté par Enter Shikari, c’est Catfish & The Bottlemen qui a pris le pouvoir sous The Barn. Les jeunes rockeurs ont clairement fait remuer une fanbase bien présente.

 

 

Pendant que The Vaccines faisaient le job en remplacement de Jessie J sur la Main Stage (offrant à Circa Waves une présence surprise sous The Barn), de nombreux curieux se sont massés sous le Klub C pour une décevante Tove Lo, sans charisme ni justesse.

 

 

Ont suivi le set plat de Counting Crows, l’aérien show de Christine & The Queens, Alabama Shakes, les mauvais The Script, avant la parfaite conclusion offerte par Kasabian, puis en tête d’affiche Muse. Le trio anglais a livré le concert parfait avec une setlist équilibrée entre nouveautés tirées de Drones et vieux titres (Uno, Citizen Erased, Microcuts).

 

 

Et en bonus, le live quasi complet (il manque Psycho) :

 

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